Mardi 9 Mai 2017
Hier, continué de lire Révolution d’EM
mais autrement que la semaine dernière : en posant des
questions, l’Afrique pour mes amis mauritaniens, et j’y
apprend que l’homme a de la méthode, des conseils, des
sources que je ne connaissais pas. Puis sa conception de la
fonction présidentielle. L’ensemble sonne juste, est lisse,
pas original et ne fait rien prévoir. Le soir, Quotidien : récapitulation de la
veille, l’esplanade du Louvre, les dernières heures du
dimanche, et la matinée du lundi, l’Arc de Triomphe, les
deux présidents, l’affiche sur l’héritier, posée dans Vannes
sur les panneaux d’expression libre. Et surtout TF1 donne un montage
excellent de la marche d’EM à la présidence. L’homme y
apparaît, libre, concentré, autant que détendu, il consulte,
une équipe quotidienne, jeune et ramassée. Des pages
dactylographiées, raturées par lui, constamment la
consultation, la pensée, la réaction à plusieurs. Rien de
technique, rien qui puisse en quoi que ce soit faire
pressentir le contenu des cinq prochaines années en tant
qu’elles dépendront, en partie, des pouvoirs publics, mais
l’animation de ceux-ci est déjà présentée. EM est sûr de
lui-même, mais son autorité est plus enveloppante
qu’énoncée. Je vais continuer de penser à ces données : le
livre, le « documentaire » immédiat sur la marche à
l’Elysée, le visage, l’épouse plus comme entourage constant
que comme inspiratrice. C’est un homme qui valide et se fait
valider. – Il n’a pas été commenté que l’hymne dimanche soir
du nouvel élu, du commencement peut-être d’une nouvelle
République, est celui de l’Europe, l’hymne à la joie de la
IXème symphonie de BEETHOVEN… et non la Marseillaise.
Ce soir, sur RMC, les apparitions à
Fatima, le troisième secret : porte-t-il sur la réforme de
l’Eglise ? sur la fin de la papauté (la prophétie de
Malachie) et François serait l’avant-dernier. Ou sur la mûe
d’une Eglise sans fidèles ni prêtres, en une cinquantaine
d’années, quittée par les peuples, par des continents ?
Messe en fin de matinée à Saint-François-Xavier, j’arrive à
la fin de l’homélie : qu’a donc retenu notre fille des
textes ? M’y voici maintenant, à la pleine lune. Toujours le
Bon Pasteur. Mes
brebis écoutent ma voix : moi, je les connais et elles me
suivent, mais
l’architecture du monde, la perpétuation du vivant, la
sauvegarde.de chacun et de tous, c’est l’unité divine. Le
Père et moi sommes un. Les évangiles, non plus Dieu, mais le
Père, le Fils et l’Esprit [1].
Et c’est à Antioche que pour la première fois, les
disciples reçurent le nom de chrétiens tandis que l’initiative
de Barnabé, débute le ministère de Paul. La main du
Seigneur était avec eux..
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