Prier… tant de fois délivrés par Dieu, ils
s’obstinent dans leur idée. Et lui regarde leur détresse quand
il entend leurs cris [1].
L’inconduite collective et personnelle par cécité, les faux
dieux, nos vies quotidiennes, les châtiments divins ? des
circonstances ? ils ne renonçaient en rien à leurs
pratiques ni à leur conduite obstinée… la main du Seigneur
était contre eux, pour leur malheur comme il le leur avait
dit, comme il en avait fait serment. Ils furent dans une
grande détresse… les
textes d’époque très durs mais assortis de toutes les
marques de la compassion divine car le Seigneur se
laissait émouvoir quand ils gémissaient sous la violence de
leurs oppresseurs. L’institution
des « juges » à creuser en version contemporaine. Ni la
monarchie, ni l’élection, ni l’adoption et une compétence
d’attribution. Droit constitutionnel et Ecriture sainte,
BOSSUET. Paganisme et cécité selon l’Ancienne Alliance,
échangisme et troc avec Dieu selon le Nouveau : les
disciples, qu’est-ce que nous aurons, nous qui T’avons
suivi ? Maître, que dois-je faire pour avoir la vie
éternelle ? Avoir…
Jésus ne répond ni par l’avoir, ce va être le conseil de ne
plus rien avoir, ni aussitôt par l’être. L’interlocuteur :
jeune ? riche assurément aussi bien matériellement que
moralement : tout cela, je l’ai observé… demeure dans le registre
de l’avoir : que me manque-t-il encore ? Alors la réponse alliant
l’avoir et l’être : si tu veux être parfait… tu auras
un trésor… condition :
vends… donne y
compris ta volonté propre : suis-moi. Le seul refus d’une
vocation dans l’évangile, une vocation aussi nette : viens, vocation et appel
dépouillés car Matthieu au contraire d’autres ne note pas
que Jésus le regarda et l’aima. C’est le dialogue le plus
achevé et pratique pour une existence humaine en Dieu.
L’interrogation initiale était : que dois-je faire de
bon ? et Jésus
répondait : pourquoi m’interroges-tu sur ce qui est
bon ? Celui qui est bon, c’est Dieu, et lui seul ! Dieu comme un bien, mais
le bien absolu, l’absolu du bien, de l’avoir. Ce n’est pas
le faire humain, c’est la totalité divine. La vie
éternelle, demandait le
quidam. Entrer dans la vie, répond Jésus. La vie
éternelle a un commencement… on y entre, et on y entre
« ici-bas ». Le seuil, la « perfection », c’est la
dépossession de soi, mais selon la grâce particulière de
l’appel à ce choix : viens, suis-moi.
Actualité
et toutes époques, rôle décisif des femmes dans la société
et pour son progrès, ces deux militantes et organisatrices
de lutte en Mauritanie que j’entreprends, avec d’autres, de
présenter ensemble à l’Académie Nobel, ces saintes commémorées
aujourd’hui : les écoles, les ouvroirs, les accueils de
vocation. – Le discours d’animation et de discernement : la
pauvreté du nôtre en France et en Europe. Celui du pape
actuel, ainsi sur l’écologie, l’environnement tels que nous
les définissons en bien petites dimensions de l’action et de
la pensée, et ainsi que le pape François les pense et nous les recommande Laudato si, et son discours sur la relation
avec la ville, l’esclavage, les endémies. Pourquoi la
qualité et donc la vérité, parce que c’est une pensée
méditée, priée et qui a ses références. Les nôtres sont la
démagogie, le train pris en route et surtout fruit du génie
politique de distraire de l’essentiel et de l’urgent. FH,
incapable de gérer sous quelque dogmatique ou idéologie que
ce soit, droite ou gauche, croit rester dans l’Histoire par
le « sommet » de Paris, d’où sa prochaine réélection, et
aussi l’entrée d’un « vert » dans le gouvernement remanié
parce que le ministre dédié censément à l’essentiel :
l’emploi, préfère « sa » mairie de Dijon, après le chanoine
KIR et Robert POUJADE, qui – eux – avaient chacun fait
quelque chose et l’avaient réussi. Les rapports
franco-soviétiques malgré la « guerre froide » et le premier
ministère de l’Environnement, sans compter l’exemple d’une
grande intégrité politique et d’une bonne plume.
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