Vendredi 3 Février 2017
11
heures 25 + « Documentaire » sur Anne LAUVERGEON hier soir
tard [1]: je l’ai cotoyée en
1992-1995 à l’occasion de
« mon » ambassade puis à l’Elysée. Une femme qui recélé des
affaires
chez Lazard, prenait des participations sans le dire à la
banque sur tout ce
qui passait à sa portée… puis la passion du pouvoir, encore
plus que de
l’argent, la dévorance de ceux – à notre époque et chez nous
– à qui l’on a mis
le pied à l’étrier. Elle se serait vue Premier ministre,
puis… NS a failli la
« prendre » comme ministre de l’Industrie, et il a eu
ensuite (il est
probable que le portrait que fera de lui la postérité et
même avant sa mort,
sera plus nuancé que l’abominable du discours de Grenoble et
du recel de tous
crédits de campagne, de parti, et autres « facilités » - il
lui a
simplement manqué un père, ce qui est dirimant). Reste
qu’exactement MESSIER,
elle a ruiné un empire et une capacité française par « la
folie des
grandeurs » (Louis de FUNES, son chapeau sous un filet de
cascade, avec
Yves MONTANT, et le chapeau prend la forme de celui de
l’Empereur…. – FF :
le pire est probable, il s’est servi de sa femme et ne l’a
pas mise au courant.
Dans notre dégénérescence dont les élus maintenant ont pleine
conscience (la
proposition de loi excluant de la candidature présidentielle
celles et ceux qui
ont « un casier »), nous avons eu la chance d’apprendre à
temps DSK
et maintenant FF.
Je
courielle ma circulaire de demande aux députés [2],
chronomètre, puis
vais aller au bonheur calme de l’écoute : la prière.
11
heures 42 + Premier « départ »… et test de la liste du si
cher Hedy.
Deux noms ne fonctionnent pas. Suite …
11
heures 55 + Le « martyre » a commencé : second fragment de
la
liste des 577 noms, l’un d’eux a sa boîte de messagerie
pleine et bloque
l’envoi à tous… Je tente un troisième fragment, le premier
(DG) est passé.
11
heures 58 + Le troisième a passé… et le 4ème : 11
heures 59
… et le 5ème :
12 heures
01… nouvelle liste
que bloque une des
messageries non relevées : 12 heures 03 …: trois listes ne
partant pas,
mais 12 heures 15, cinq liste déjà passées
… six à présent ; 12 heures 16…
sept à 12 heures 18 …
et de onze
à 12 heures 24 …
chaque groupe entre 60
et 75 noms.
12
heures 31 + Trente-six messages non remis et deux accusés de
réception
automatique, confirmant donc une adresse : à ces deux, je
vais me confier
davantage. Ensuite Sénat, toujours les listes de mon cher
Hedy, mais sans
suffixe personnalisant. Puis la Dordogne, grâce au cher Guy
B.
13
heures 36 + Hérodiade
en voulait donc
à Jean, et elle cherchait à le faire mourir. Mais elle n’y
arrivait pas parce
que Hérode avait peur de Jean : il savait que c’était un homme
juste et
saint [3]. Le « scenario » du
péché
originel, la femme tentatrice (mais la femme salvatrice :
Marie et Eve),
la peur d’Adam entendant Dieu arriver pour la promenade du
soir tous les trois,
la conscience (cf. HUGO et la légende
des siècles : l’œil était dans la tombe et
regardait Caïn), la peur
d’Hérode, lucidité,
discernement : l’aveuglement est volontaire, nous nous
piégeons
nous-mêmes. Il nous faut un autre, l’Autre pour nous
reprendre et voir, et nous
voir. Il le protégeait ; quand il l’avait entendu, il
était très
embarrassé ; cependant il l’écoutait avec plaisir. Certainement, Hérode était sous emprise, les
mystiques et l’obsession
sexuelle, parcours sur le fil de l’équilibre, mon cher
Michel T., Thérèse
d’Avila (analyse d’écriture : fille publique…).
L’arrestation de Jean
Baptiste, déjà, s’était faite à l’instigation d’Hérodiade… La
fille
d’Hérodiade fit son entrée et dansa. Elle plut à Hérode et à
ses convives…
Qu’est-ce que je vais demander ? … Il ne voulit pas lui
opposer un refus… Le
vœux malheureux de Jethro… L’inhumation
de Jean. Dès son arrestation, le « signal » avait été reçu
par le
Christ, son ministère public commença. Il faut que je
diminue et qu’Il
grandisse, avait dit le
Précurseur… Une
jeune fille à son beau-père de la main gauche : Je veux
que, tout de
suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste. Hérode senior et les Saints Innocents, Hérode
junior et Jean
Baptiste. La dynastie des aveugles. L’un a peur pour sa
couronne, l’autre a
peur de sa maîtresse. – Conseils pastoraux selon la lettre
aux Hébreux : souvenez-vous
de ceux qui sont maltraités, car
vous
aussi, vous avez un corps. Que le mariage soit honoré de tous,
que l’union
conjugale ne soit pas profanée, car les débauchés et les
adultères seront jugés
par Dieu. Que votre conduite ne soit pas inspirée par l’amour
de l’argent… Ainsi
devons-nous être et vivre, ainsi
soit-il. Et dettes de reconnaissance, je suis en train
d’écrire les cinq
derniers portraits que je dois à des mémoires qui m’ont la
main et une part
d’âme, d’intelligence, de densité humaine.
[1]
- France 2 – Elise
Lucet . 21 heures – Les sœurs, les femmes cachées
du djihad (300
françaises parties en Syrie depuis 2012 – USA : et si on
jouait à être
pauvre ? - Anne
Lauvergeon, l’enfant
gâtée de la République
sommaire
de mon livre : Pourquoi viens-tu si tard ? au
pied du mur
Chère élue,
cher
élu à l’Assemblée nationale/au Sénat de notre
République,
je vous
demande
votre appui signé pour ma candidature à l’élection
présidentielle.
Premier de
nos
ambassadeurs en Asie ex-soviétique (1992-1995), pigiste
notamment au Monde
(1972-1982) et à la Croix (1972-1997), E.N.A., agrégatif
de droit public, j’ai
vécu en adolescent nos drames puis en haut fonctionnaire
nos équilibres et
prestiges ressuscités. Je suis maintenant, comme vous,
le témoin de notre
décadence faute d’orientation et de civisme. La fonction
présidentielle a été
dénaturée, puis gaspillée, elle est exercée
solitairement. Il faut en demander
et en soutenir un tout autre exercice. C’est vital pour
notre pays et pour
l’entreprise européenne à reprendre et à laquelle nous
manquons.
Je ne suis
d’aucun
parti. Breton de résidence, parisien de naissance, j’ai
épousé une alsacienne
et j’ai été français
de l’étranger par
profession (notre commerce extérieur dans nos
ambassades), et aussi
conseiller municipal en Franche-Comté puis en Bretagne.
Notre fille a douze ans
et demi.
Mes
convictions : l’exemple et le legs pratique du général
de Gaulle.
Objectif :
non pas
être élu, mais selon les voix recueillies au premier
tour, faire valoir pendant
le prochain quinquennat quel qu’en soit le titulaire ce
dont j’ai tenté de
convaincre Nicolas Sarkozy puis François Hollande sous
couvert de leurs
secrétaires généraux respectifs : démocratie sincère et
pratique, Europe
(élection directe du président de l’Union),
planification à la française,
moratoire des dettes souveraines, service militaire et
civique universel (filles
comme garçons, donné en exemple à l’Europe pour son
esprit de défense et sa
ressource humaine), notamment. En vain…
Faire
valoir
surtout et partout, si grâce à votre signature je puis
recevoir de beaucoup de
nos compatriotes une autorité morale, ce que depuis des
années, au hasard des
rencontres et en écoute permanente, nos concitoyens
pensent et souhaitent. Vous
le faites vous-même. Accueillez-moi et permettez que je
vous épaule, de même
que vous m’aurez donné une tribune décisive : elle
restera à votre
disposition.
Simple
instrument
d’écoute et de transmission, 74 ans en Avril prochain,
je passerai vite le
relais, si se crée par le premier tour de notre élection
présidentielle une
sorte de fonction de « tribun du peuple » à démultiplier
d’abord, puis
réinvestir en 2022.
Ma
candidature –
grâce à votre appui, s’il vous plaît – est un exercice
pratique de démocratie
et du droit de pétition. Aidez-moi aussi à atteindre les
personnalités de
votre circonscription. Merci par avance et en confiance.
A votre
demande,
résumé des points que je veux présenter en campagne et à
votre disposition
pour vous en dire davantage b.fdef@wanadoo.fr – 06 80 72 34 99 –
Reniac . boîte
postale . 56450 Surzur
[3]
- lettre aux Hébreux XIII 1 à 8 ; psaume XXVII ;
évangile selon
saint Marc VI 14 à 29
[4] - Le 03/02/2017
à 14:26, Bertrand Fessard de Foucault a écrit à Madame et
à Monsieur
François Fillon - francois.fillon@fillon2017.fr:
Bien chère
Madame,
ma femme, notre fille et moi en profonde sympathie et communion avec vous. Admirant votre stoïcité : dignité personnelle, amour pour votre époux, alors que tout donne à penser que vous n'avez rien su de la combinaison faite à votre nom et qui le perd aujourd'hui. Cette combinaison ne vous atteint pas.
Cher Monsieur le Premier ministre,
je compatis à votre souffrance, sinon à votre martyre, à votre déception et honte de vous-même vis-à-vis des vôtres, surtout de votre femme - admirable et pas atteinte - et vis-à-vis de vos militants et électeurs, jusques-là si confiants et heureux de vous.
Souhait que
1° vous demandiez pardon à votre épouse
2° vous demandiez pardon à vos militants, vos soutiens et vos électeurs potentiels
3° vous demandiez pardon aux Français
4° vous vous engagiez à rembourser intégralement ces "trop-perçus" et ces abus d'autorité morale, de confiance
5° vous nous assuriez qu'ainsi blessé, ainsi repentant, vous acceptiez d'être une leçon pour la politique en France et que, ne renonçant pas (sauf mise en examen), vous nous laissiez prévoir une présidence de très haute morale, et aussi de communion avec les Français
Faites cela, cher Monsieur le Premier ministre, sans attendre un quelconque verdict. Spontanément, au plus vite.
Je vous le dis pour notre pays : le mal est fait, aucun autre ne sera élu à votre place, ni ne réparera. Tout vous incombe y compris l'éventuelle élection. Je vous le dis aussi parce que de toutes façons, je n'aurai pas voté pour vous, Emmanuel Macron est un danger subtil mais grand pour notre démocratie et ne conviendra pas. Je choisis 1° d'obtenir un mandat populaire pour soutenir, quel que soit l'élu, dont vous, un exercice autre de la présidence de notre République, en portant suggestions, conseils de tant d'entre nous, jamais écoutés, sorte de fonction tribunicienne qu'a refusée avec constance François Hollande, préférant ce qui l'a perdu et nous a menés bas : la solitude, et 2° d'aider à la refondation socialiste que je crois Benoît Hamon autorisé à entreprendre. Une gauche de gouvernement n'est pas une gauche de timidité. Quant à la droite, vous savez mieux que quiconque qu'elle risque depuis des années ses lettres de noblesse, c'est-à-dire qu'elle n'a pas maintenir, enrichir et faire honorer par les Français le legs du général de Gaulle. Je crois que vous avez la limité " la casse" étant à Matignon, je crois aussi que vous avez compris les intuitions du fidèle et vrai Philippe Séguin.
Voeux et pensées. Hoc sit quod dicitur.
ma femme, notre fille et moi en profonde sympathie et communion avec vous. Admirant votre stoïcité : dignité personnelle, amour pour votre époux, alors que tout donne à penser que vous n'avez rien su de la combinaison faite à votre nom et qui le perd aujourd'hui. Cette combinaison ne vous atteint pas.
Cher Monsieur le Premier ministre,
je compatis à votre souffrance, sinon à votre martyre, à votre déception et honte de vous-même vis-à-vis des vôtres, surtout de votre femme - admirable et pas atteinte - et vis-à-vis de vos militants et électeurs, jusques-là si confiants et heureux de vous.
Souhait que
1° vous demandiez pardon à votre épouse
2° vous demandiez pardon à vos militants, vos soutiens et vos électeurs potentiels
3° vous demandiez pardon aux Français
4° vous vous engagiez à rembourser intégralement ces "trop-perçus" et ces abus d'autorité morale, de confiance
5° vous nous assuriez qu'ainsi blessé, ainsi repentant, vous acceptiez d'être une leçon pour la politique en France et que, ne renonçant pas (sauf mise en examen), vous nous laissiez prévoir une présidence de très haute morale, et aussi de communion avec les Français
Faites cela, cher Monsieur le Premier ministre, sans attendre un quelconque verdict. Spontanément, au plus vite.
Je vous le dis pour notre pays : le mal est fait, aucun autre ne sera élu à votre place, ni ne réparera. Tout vous incombe y compris l'éventuelle élection. Je vous le dis aussi parce que de toutes façons, je n'aurai pas voté pour vous, Emmanuel Macron est un danger subtil mais grand pour notre démocratie et ne conviendra pas. Je choisis 1° d'obtenir un mandat populaire pour soutenir, quel que soit l'élu, dont vous, un exercice autre de la présidence de notre République, en portant suggestions, conseils de tant d'entre nous, jamais écoutés, sorte de fonction tribunicienne qu'a refusée avec constance François Hollande, préférant ce qui l'a perdu et nous a menés bas : la solitude, et 2° d'aider à la refondation socialiste que je crois Benoît Hamon autorisé à entreprendre. Une gauche de gouvernement n'est pas une gauche de timidité. Quant à la droite, vous savez mieux que quiconque qu'elle risque depuis des années ses lettres de noblesse, c'est-à-dire qu'elle n'a pas maintenir, enrichir et faire honorer par les Français le legs du général de Gaulle. Je crois que vous avez la limité " la casse" étant à Matignon, je crois aussi que vous avez compris les intuitions du fidèle et vrai Philippe Séguin.
Voeux et pensées. Hoc sit quod dicitur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire