Prier…[1]
la
« montée » de Jésus à Jérusalem avec l’étape de Jéricho,
Bartimée et
Zachée, puis les paraboles sur les talents et sur le Royaume.
Avant l’accueil
triomphal, Hosanna pour le fils de David, il y a cet amour
fraternel et
patriotique pour la ville des villes. Jésus affectif, Jésus de
son temps et
Jésus prophète. Ah !
si toi
aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui donne la paix ! Une conversion, un accueil,
pas le martyre
des Maccabées ni l’insurrection violente. Le martyre-même du
Christ, que vont
lui infliger les habitants de Jérusalem, va aussi être celui
de la Ville-même. Ils
ne laisseront pas chez toi pierre sur pierre, parce que tu n’as
pas reconnu le
moment où Dieu te visitait. . . . Alors, beaucoup de ceux qui
recherchaient la justice
et la Loi sen allèrent vivre au désert…. Offre à Dieu le
sacrifice d’action de grâce
– et combien, tout hier et
ce petit matin,
j’ai été gratifié de cette grâce divine, proportionnée,
détaillée, personnalisée,
débordante et rayonnant dans toute notre petite famille et ses
enceintes et ses
alliées – accomplis
tes vœux envers le Très-Haut. Invoque-moi au jour de ta
détresse :
je te délivreai et tu me rendras gloire. Prier : rendre grâce,
dialoguer, Dieu
comme à égalité avec nous, à portée de nous d’intelligence, de
langage et de compréhension
des signes du temps. Héroïsme de Dieu, dans Son incarnation et
la marche au martyre,
mais aussi l’homme suscité au-dessus et plus profond, plus
vrai que lui-même.
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