Hier dimanche + La messe des familles en notre
église paroissiale. L’Eglise et les saints (« ses »
saints ?). L’héroïcité des vertus ? non, elles sont un don.
Les miracles, nombre et qualité pour une béatification, une
canonisation : un test de puissance personnelle depuis
l’au-delà, des signes et des réponses de certains morts aux
vivants qui les invoquent et prient ?je ne le vis comme
cela, mais plutôt en « communion des saints » et en dialogue
par la prière. Alors des miracles comme Jésus en
accomplissait selon la disponibilité de qui Le suppliait… à
approfondir. Prier pour la patrie, soit ! son salut par la
reprise de conscience de ses racines chrétiennes, un des
leit-motiv de notre recteur… non pas vraiment, en tout cas
pas selon cette pétition et un explicite qui viserait
inamicalement toutes les branches rapportées, autant que les
sécessions et aussi l’agnosticisme, les intentions et le
système parfois prêtées chez des chrétiens de maintenant à
nos dirigeants politiques. Mais jamais à nos dirigeants
économiques, dont le projet ultime si on les suivait serait
de supprimer le salariat, la main d’œuvre, le facteur
travail… Nos chants, le jeune médecin meneur du jeu et
derrière nous cette voix d’homme magnifique, un peuple
entier en sa basilique. Jeune père de deux enfants aussi. Le
plus souvent silencieux et les yeux clos, entendre les
autres, ma femme : chanter, réciter. Marie, mère de Dieu,
reine… oui, mais la première en chemin » comme dit bien le
cantique, la première chrétienne. Le chapelet, son instance
selon ses apparitions dans l’Histoire. Ce n’est pas un appel
à la vénérer, elle, ou même à la prier. Mais simplement à
l’accompagner et à la reconnaître comme notre maîtresse,
notre enseignante de prière.
Grand moment chez lui puis à table
et retour, avec mon camarade de l’E.N.A. Pierre I., sa vie
comme une aventure assez exceptionnelle dans la fonction
publique française de l’outre-Méditerranée, à
l’outre-Atlantique puis dans nos provinces lyonnaise,
normande. Voyage aussi dans des affections familiales et
conjugales qu’il dit avec sobriété et sincérité. La
schizophrénie, la fratrie des enfants, les dérives vers
l’athéisme de la seconde génération. E la vie quotidienne
d’un octogénaire se dépouillant, ayant des permanences
d’écoute paroissiale, itinéraire aussi des « équipes
Notre-Dame » depuis son adolescence, une retraite avec
Marthe ROBIN à qui il demanda conseil d’orientation
professionnelle. Nos propres mois ensemble, Mai 1968, la
personnalité de camarades communs, féminins et masculins,
l’évocation du cher Jean MAHEU, maître en civisme… son
premier directeur après qu’il soit devenu administrateur
civil, et qui avait été mon maître de conférence à
Sciences-Po. Il nous a traités à Conleau. Evocation de ma
propre enfance, les trajets à pied de la gare et des trains
à vapeur jusqu’au « passeur » d’une cale à l’autre (Monsieur
NOBLANC) pour Bellevue. Une Vanessa qui nous sert, velléité
de faire du journalisme, mais…
Informations, défilé à l’Elysée,
platitude, NS se campant constamment en président de la
République, plus futur que passé. Je retarde l’envoi de ma
lettre du 11-Novembre augmentée depuis par mes courriels au
jour le jour jusqu’à entendre ou lire demain après-midi
l’adresse au Congrès, dont je n’attends rien. Gouvernement
nouveau, Premier ministre de novation ou de consensus,
réforme électorale, établissement d’un service militaire
universel garçons et filles, civique, européen,
franco-africain. Et pourquoi pas ? des périodes pour les
adultes, vg. tous les cinq ans à quelque âge que ce soit…
même au mien. Civisme, patriotisme, esprit de défense et une
certaine habileté individuelle et collective que nous
n’avons sans doute pas. - Son et lumière, le tricolore :
porte de Brandebourg, pyramide de Kéops, Bombay et
ailleurs... Relations internationales, peut-être quelque
chose "est-ouest"
Ce petit matin + Prier…[1]
toute la question de l’assimilation ou pas des Juifs au
reste des habitants d’un royaume, des autodafés anticipant
l’hitlérisme et peut-être des moments de l’Inquisition
catholique… tous
les livres de la loi qu’ils découvraient, ils les jetaient au
feu après les avoir lacérés. Si l’on découvrait chez quelqu’un
un livre de l’Alliance, si quelqu’un se conformait à la Loi,
le décret du roi le faisait mettre à mort. Mais la résistance et le
martyre de certains… la geste des Maccabées. J’ai vu les
renégats : ils me répugnent, car ils ignorent ta promesse. En toute religion, le
martyre et le sectarisme… nous n’y échappons pas si nous
entrons ou restons dans le rite, et si le cœur nous dirige
ou est étouffé… C’est l’acte de foi et de confiance qui
purifie tout, qui atteste de tout, et qui nous donne le vrai
comportement. Il s’informa de ce qu’il y avait. On lui
apprit que c’était Jésus le Nazaréen qui passait. Il s’écria…
ceux qui marchaient en tête le rabrouaient pour le faire
taire. Mais lui criait de plus belle… alors le dialogue, le
témoignage et la suite, toute suite. Le martyre, le miracle,
la foi, Dieu et l’homme en rencontre. Jésus s’arrêta et
il ordonna qu’on le lui amène. Quand il se fut approcha, Jésus
lui demanda… il répondit… Et Jésus lui dit… A l’instant même,
il retrouva la vue et il suivait Jésus en rendant gloire à
Dieu… Texte et vie : Jésus,
fils de David, prends pitié de moi ! … Que veux-tu que je
fasse pour toi ? … Seigneur que je retrouve la vue… Retrouve
la vue ! Ta foi t’a sauvé.
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