Failli
m’endormir pendant mon cours BTS : droit de l’informatique, la
responsabilité des prestataires de services. Je vois
maintenant comment m’y
prendre pour l’ensemble de ce dont j’ai la responsabilité,
plus avec mon âge et
mes domaines, un certain tutorat sur l’ensemble de mes trois
classes. –
Disponibilité dont j’ai besoin pour moi-même, la forme mentale
revenu mais l’agenda
pas dominé. Dont j’ai surtout besoin pour ce que je veux mener
à bien. – Evidence
que depuis le vendredi 13, après trois jours de latence, le
cap choisi et
énoncé devant le Congrès réuni à Versailles est une erreur
complète en
stratégie, en efficacité et surtout en pénétration de nos
situations, de nos
psychologies, des circonstances qui ne nous sont qu’en
apparence infligées par
des pauvres types, mais qu’en réalité nous nous infligeons
depuis des années. L’infantilisation
d’un pays, sa réduction au silence, plus même à la critique
d’un spectacle
puisque celui-ci est si mauvais : scenario et interprète. Nous
sommes à
présent dans une spirale d’atteintes au civisme, à
l’expression des âmes et des
mouvements vrais, nous sommes dans une « information » de
déguisement :
du « faire-croire » constamment. Les dégâts vont être immenses
en
psychologie, en droit, nos dirigeants ne posent aucun
diagnostic. Internationalement,
ils n’entreprennent rien au niveau ni de l’Europe ni de
l’Alliance atlantique,
n’inventent rien aux Nations Unies, et se barricadent dans la
communication et
le paraître. Ils n’ont aucun rayonnement personnel. Ils
n’existent plus pour l’âme
du pays. Le ressort, donc l’avenir sont ailleurs.Ce va être
désastreux : « çà »
va recommencer et le « bourrage de crânes » deviendra toute
l’information
et la réflexion sur le pays quotidiennement. Avec par
malheur ? la
coincidence avec les élections de 2017.
Prier…
[1].
Jésus et les « intérêts »
(les vendeurs au Temple), Jésus et le peuple que pourtant les grands-prêtres et les scribes,
ainsi que les
notables parviendront à
retourner. Le
calme de Jésus, après un pugilat sinon un corps-à-corps car
les marchands ne
durent pas se laisser faire, à tous contre un. Le Temple, tout
lieu de piété,
toute foi affirmée ou espérée se discutent, au sens de subir
la dénégation ou
la minoration. Et pourtant le moment, le lieu de piété sont
des repères et des
socles. A cultiver dans le détail de nos vies quotidiennes, à
placer,
replacer, restaurer. Ils en restaurèrent les entrées et
les salles et y
replacèrent des portes. D’où
nous venons,
ce que nous avons faire consensuellement et la distance entre
dirigeants et
petits. Précisément foi et piété des humbles ou nécessiteux
les rendent
invulnérable pour les accapareurs du legs ancestral, divin.
[1]
- 1er livre des Maccabées IV 36 à 59
passim ; 1er
des Chroniques XXIX 10 à 12 ; évangile selon saint Luc XIX
45 à 48
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