pièces jointes :
contribution du pape émérite Benoît XVI à la suite de la
réunion des présidents de commissions épiscopales nationales
& essai sur le silence
Comme j’ai moi-même eu à servir dans une
position de responsabilité en tant que Pasteur de l’Eglise au
moment de la manifestation publique de la crise, et pendant
qu’elle se préparait, je me devais de me demander – bien qu’en
tant qu’émérite, je ne porte plus directement cette
responsabilité – ce que je peux contribuer par ce regard en
arrière en vue de ce nouveau départ. Ainsi, après l’annonce de
la rencontre des présidents des conférences épiscopales, j’ai
compilé quelques notes qui pourraient me permettre de
contribuer quelques remarques utiles en ces heures graves.
Ayant pris contact avec le secrétaire d’Etat, le cardinal
Parolin et le Saint-Père lui-même, il m’a semblé opportun de
publier ce texte dans le Klerusblatt [un
mensuel destiné au clergé des diocèses, pour la plupart de
la région de Bavière].
. . . À la fin de mes réflexions je voudrais remercier le pape
François pour tout ce qu’il fait pour nous montrer, encore et
encore, la lumière de Dieu, qui n’a pas disparu, même
aujourd’hui. Merci, Saint-Père !
14 heures 20 + Marguerite à
nouveau sur les pistes, je lis les coupures de presse que
m’a adressées le cher François-Xavier : analogues à son
peuple de montagnards au Vietnam, les Bunong au Cambodge,
condamnés à l’extinction biologique et culturelle par la
transnationale de BOLLORE, Socfin,
établie au Luxembourg.Cela va faire partie de ma prochaine
lettre à EM : la sincérité de nos concours aux pluralismes
culturels et de civilisations dans le monde, et au
développement durable, particulièrement dans les pays
naguère sous notre empire, l’Afrique subsaharienne,
l’Indochine. L’interpeller autrement qu’en politique, une
fois vidée la question de cette supercherie qu’aura le
« grand débat national ».
17 heures 30 + Le grand
rabbin de France à l’archevêque de Paris, le plus beau cri
d’amour mutuel et fraternel qu’ait suscité notre drame de lundi soir [1]
21 heures 19 + Venu chez
nous vers les sept heures moins le quart, exceptionnelle
conversation avec François-Xavier me donnant des éléments
tellement consubstantiels de lui mais qui prennent si
justement et fortement place dans ce que je cherche et vis
mentalement. Parabole d’une réalité que je ne connais mais
qui l’habite : Kontum, les montagnards, une résistance pas
seulement au pouvoir vietnamien nationaliste et communiste,
mais au matérialisme et à l’argent (les procès intentés par
des peuples de même nature, de mêmes valeurs, de même
économie à BOLLORE et à ses sociétés, le système français
pro-BOLLORE et anti-immigration, anti-témoignages, les visas
tellement conditionnés et pourtant refusés…les procès
intentés en France par les Bunongs emmenés avec intelligence
par le Cambodgien, Kneth PRAT). La leçon, très profonde et
qui est peut-être l’avenir de la foi dans un monde qu’elle
changera, c’est que cet homme de racines et de simplicité,
moniteur de ski et éleveur de buffles est intégralement
rigoureusement chrétien, catholique, amoureux de liturgie
sur la cîme Caron, ici (3.200 mètres) ou dans la chapelle,
parfois salle polyvalente, mais avoue que son peuple et lui
sont animistes. Ainsi la base multiséculaire n’empêche pas,
au contraire, l’entrée dans le mystère chrétien. Ni l’un ni
l’autre ne sont monothéiste. Il m’explique en politique
l’imprégnation confucéenne de l’’Extrême-Orient, de la
Chine, du Viet Nâm, du Japon : même totalitarisme d’une
structure verticale, d’un besoin de dieu assouvi par le
culte de l’empereur, du chef, tout le contraire de la
démocratie dont le mouvement est de bas en haut. Des
« formatages » millénaires. Il affirme que la Chine a
toujours été expansionniste, et compte pour pas beaucoup les
bouddhistes. Enfin, de nationalité française d’autant qu’à
la chute de Saigon en 1973, la « nationalité »
sud-vietnamienne fut abolie, il continue de respirer Kon
Tum, cette petite province intense, ses père et mère y
vivent encore. Enfin, il m’indique une des voies les plus
pratiques et les plus belles pour pratiquer l’intégration
chez nous avant même l’immigration : les parrainages
français donnés dès l’enfance des Bahnas, le système
organisé par le dernier évêque français de là-bas : Mgr.
SEITZ. Je vis cela, de fait, avec mes « protégés »
ukrainiens, les parrainant rétrospectivement. Et comme je le
raccompagne de « chez nous » à chez lui, début de la
chaussée dont la neige a fondu, paysage de nuit commencée,
les montagnes tranquillement en cercle et la lune maintenant
pleine, il m’apprend reçu sur son téléphone que Benoît XVI
vient de publier quelque chose. Il ne peut le lire, écran
aux dimensions e deux doigts tendus, serrés.
21 heures 32 + J’évoque le
texte de Benoît XVI : il est du 11 Avril pour un mensuel
allemand. Le résumé qui en est fait est ravageur : le début
de tout est 1968, l’immoralité et le texte, donc rétrograde,
ne ferait aucune référence au Concile. Vue de l’extérieur.
Elle est a priori et réductrice. Je parcours le texte, il me
semble complet et magnifique, et commencé par les
circonstances d’une urgence, d’une réflexion et d’une
expérience de la responsabilité pontificale, il se termine
par des remerciements au pape François. Merci de ce que vous faites pour
nous montrer…
23 heures 09 + L’élan
multiforme suscité par le martyre de notre cathédrale
nationale, élan en diverses confessions et diverses
attributions et affectations du rayonnement e ce monument
dans nos vies et dans la vie nationale, est tel que la
politique se périme complètement. Nathalie LOISEAU aurait
invité des gens la messe. EM est d’une certaine expulsé, la
politique aussi – il y a plus intéressant qu’eux, vraiment
vital, lui qui voulait en incarner une toute nouvelle, et
qui en imposait une place débordant tout le reste.
Marguerite, mardi soir : Macron, il a du mérite, dans le même mandat en pas deux ans, les gilets jaunes
et l’incendie de
Notre Dame. Elle a raison. Je veux essayer
d’analyser et ce cri d’alarme déclenchant une crise sans
précédent dans la forme et dan le fond, chez nous en
politique, et ce qui a saisi les Français contemplant sur
petit écran ou sur les lieux ce que notre cathédrale
subissait lundi soir. Les deux ensembles ont-ils un
rapport ? Oui, celui de la prise de conscience, l’arrêt sur
image. Et je le vis dans ma tentative de comprendre la crise
de l’Eglise (non en elle-même mais vis-à-vis d’elle-même et
vis-à-vis du monde, le regard qui accuse) et l’un de ses
aspects, la pédophilie dans le clergé, mais il n’y a pas que
cela.
Fin de soirée avec le paysage
magnifique que la fin du jour, le coucher du soleil, le
lever d’une pleine lune nous donnent silencieusement, en
d’immenses dimensions. - Lu déjà les textes de de la messe
de demain : l’intense conscience que l’homme Jésus a de Sa
divinité. Il sait, Il voudrait que ses disciples
comprennent. Il sait Son heure et Il assure ses disciples
qu’ils comprendront avant peu.
jeudi
Saint
09
heures 02 + Mystère du quatre heures quarante-sept ou
quarante-huit de la nuit, j’y suis réveillé depuis des mois,
mais me rendors facilement.
10 heures 57 + Cacophonie ?
Ou retour à de simples vérités. La presse est notre premier
agent de dictature « sous » EM : elle relaye à plein la
décision de celui-ci, supprimer l’E.N.A.. C’est le
contre-sens et la pire « réforme » que puisse subir le pays.
Contre-sens, les élites et la haute classe sociale et
décisionnaire, de plus en plus fermée pas tant d’accès que
d’oreille et d’imagination (désintéressée), ne sont pas
principalement les hauts-fonctionnaires. Ceux-ci, rivaux
pour les grands postes et places (j’en sais quelque chose),
ne sont pas solidaires (le Monde pour mes premiers
articles, 1972, ne sachant comment me situer, mettait ancien
élève de l‘ENA : courriers et téléphones de « camarades »
ou d’anciens, protestant au point que JF me demanda si
j’étais vraiment passé par l’E.N.A.) et sont aux ordres. EM,
en début de mandat, pensait même astreindre à l’avenir les
premiers sortis de l’Ecole, à un conformisme avec le
gouvernement et ses options, sans limite de durée et d’objet
(je retrouverai date et page dans le Monde. Non-sens
aussi puisque les premiers sortis choisissent « les grands
corps » et que ceux-ci : Conseil d’État, Cour des comptes,
Inspection des Finances ne sont pas d’exécution ou de
conception, du moins selon leur mission première, mais de
contrôle. Le « haro » sur l’E.N.A. est une désinformation
totale, y céder comme cela va être fait par un prince, seul
aux abois et dont la manière d’être et de faire sont le seul
vrai problème politique de la France ces mois-ci, est de la
démagogie, surtout une erreur. Comment seront recrutés
désormais les fonctionnaires de responsabilité ? Par des
concours organisés par chaque ministère, ceux-là changeant
en nombre, en intitulé et en compétence (ce qui est une
pratique mauvaise, organisant la discontinuité et l’amnésie,
dans la direction de l’État) ? c’était le système de 1875 à
1945, avec l’Ecole libre des Sciences politiques
préparant pour les « grands concours ». Or, les Sciences-Po.
une école par chef- lieu de région, admission par concours
national (comme pour l’internat de médecine – tous processus
que j’ai appris depuis peu seulement) et choix de la ville
selon le rang de classement,, n’ont plus qu’une ambition, en
sus de leur rivalité inter se, ressembler aux universités
anglo-saxonnes, surtout outre-Atlantiques et autour
d’Harvard, " l’excellence ". Le système unanimement souhaité
dès les années 1930 et mis au point par Michel DEBRE n’était
pas universitaire, il était une culture du service de l’État
et du service public, une forme de sacerdoce excluant
absolument l’argent et le « pantouflage ». Service public et
nouvelles formes de commandement de l’État et de prise en
mains publiques pour l’ensemble de notre économie et de
notre : la planification, l’aménagement du territoire. Il
est – terriblement – symptomatique que tout cela ait été
abandonné et en arrive à sa dernière étape de destruction de
ce qui a été l’ossature de notre pays, alors qu’il
entreprenait la grande construction européenne et parvenait
à s’émanciper de nos possessions outre-mer et à les
décoloniser. Deux entreprises d’ailleurs ratées comme il est
tristement aisé de le constater à présent. Ces chantiers et
ces réflexions ne sont pas celles d’EM. Qui se donne cinq
ans pour inaugurer en cours de son second mandat le résultat
(problématique selon moi et sans doute beaucoup,
actuellement silencieux) des appels d’offre, des corruptions
et des négociations insuffisantes pour réhabiliter Notre
Dame. Il y a des lueurs d’espoir, elles sot des personnes :
Anne HIDALGO a vraiment marqué dans la nuit de lundi Saint,
et Ian BROSSAT, tête de liste communiste pour les élections
européennes, rayonne sans faute depuis qu’il est à cette
place. Qu’EM montre une nouvelle fois le mépris des « gens »
puisque c’est lui, et non les « garants », qui 1° élude une
vraie publication des résultats du « grand débat national »,
et 2° en décide des mises en œuvre selon lui et non selon
les contributions, devient secondaire. Le Président,
trahissant en tous points, la lettre et l’esprit de notre
Constitution, n’est plus au entre ni de l‘actualité ni de
l’évolution mentale du pays. En revanche, la coïncidence
entre la crise de l’Église, sans doute aussi grave que celle
qui a suscité la Réforme protestante – intervention étendue,
méditative et bien située par son auteur, notre pape émérite
Benoît XVI – et la prise de conscience des racines de la
catholicité française dans le monde entier, nous indique ce
à quoi nous devons travailler. Pour ma part, si obscure
qu’elle soit, puisque je suis sans tribune que ma circulaire
quotidienne, quand fatigue et santé, par grâce, desserrent
leur étreinte, je vais encore plus m’employer. Mais l’accès
à la notoriété passe pour moi, immédiatement, par un livre
qui soit remarqué parce que ou beau ou bon, et,
actuellement, ce ne peut être un essai politique. J’admire
mon cher Patrick S. En ratages conjugaux, en faillite
financière et en procès, de produire sereinement avec une
apparente modestie mais compétence, méthode scientifiques et
vrai travail d’investigation, une vingtaine de livres en pas
vingt ans… Notules du cher Olivier B. 2
22 heures 38 + L’heure que
nous pouvons supposer pour l’entrée de Jésus dans Sa
passion. Textes de la messe du soir, la Cène. L’institution
de l’Eucharistie par Paul, historiquement le premier à nous
les dire. Le coeur de cette dernière soirée : l’humilité et
l’amour 3.
La grâce de cette Semaine Sainte, c’est Notre Dame (version
de Paris) à tous les égards. Une sorte de trêve mettant en
harmonie les censés contraires : les prévenances de TRUMP
envers la France, sa correspondance avec le Pape. Les
protestations résonnant si vrai et chaleureux des
hiérarchies religieuses musulmanes et juives. La
considération générale de notre essence historique (et
chrétiennes – la plume quotidienne de Laurent JOFFRIN) et la
péremption d’EM : allocution reportée, divagations sans
sérieux ni études forcément prématurées sur les calendriers
de la « rénovation » de la cathédrale… Une sorte de calme.
Paul et Jean nous le donnent. Alors qu’après trois ans de
harcèlement et de poursuite, à temps et contretemps, Jésus
va à la mort et nous sommes simplement invités à lire le
testament : chaque
fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe,
vous proclamez la mort du Seigneur, nous inculque
Paul… C’est un exemple
que je vous ai donné afin que vous fassiez, vous aussi,
comme j’ai fait pour vous. Et Pâques, notre
communion avec les Juifs de religion, frères en Abraham,
événement et calendrier: ce mois-ci sera le premier des mois… C’est un décret
perpétuel : d’âge en âge vous le fêterez, ô
combien manifestée lundi soir. Mais le fait majeur, ce soir
de la dernière Cène, c’est la conscience aigüe qu’a Jésus de
Sa divinité. Fils de Dieu, le Dieu de la Pâque : je traverserai le pays d’Egypte,
cette nuit-là… je passerai… je verrai le sang… le
sang du Rédempteur, de l’agneau pascal, déjà présent à la
sortie d’Egypte… mais ce soir le Fils de l’homme… sachant que l‘heure était venue
de passer de ce monde à son Père … sachant que le Père a
tout remis entre ses mains … est au comble de
l’humilité : le lavement des pieds pourtant introduit par la
pétition explicite de Sa divinité. Conclusion, ce soir :
Jésus, ayant aimé les
siens, les aima jusqu’au bout… ce que je veux faire, tu ne
le sais pas maintenant; plus tard tu comprendras.
[1] - "C'est notre lieu à tous, et je pleure
avec toi !"
C'est le message que Haïm Korsia,
Grand Rabbin de France, a immédiatement adressé à Mgr
Aupetit, Archevêque de Paris, alors que les flammes
ravageaient la cathédrale.
Depuis, les messages de sympathie de nos amis
juifs ne cessent de me parvenir, signe combien émouvant et
réconfortant de la solidarité qui nous unit, dans la joie
comme dans la peine !
Oui, le désastre est grand, et grande la peine de tous, bien au-delà des seuls catholiques, et même bien au-delà de la France, comme l’expriment tant de messages qui continuent d’arriver – des rabbins orthodoxes d’Allemagne, des Amitiés judéo-chrétiennes sœurs d’Australie, du Chili...
Ce monument, sans doute le plus célèbre du patrimoine français, en plus de sa longue histoire est un lieu qui, depuis quelques années, portait aussi la mémoire de l’amitié entre juifs et chrétiens : c’est sur le parvis de Notre Dame que fut récité le kaddish lors des funérailles de Mgr Lustiger, et une plaque sur une colonne de la cathédrale y rappelait qu’Aron Jean-Marie Lustiger n’avait jamais voulu renier sa judéité.
Quelques années plus tard, un rabbin, invité par l’archevêque de Paris, y était venu prononcer une conférence de carême.
Mas si la peine est grande, l’espérance l’est davantage encore. Nous nous acheminons, juifs et chrétiens, vers les fêtes pascales, et le Dieu unique que nous célébrerons en même temps est le Dieu de la Vie. Comme ne cesse de nous le rappeler toute la Bible, après les pleurs viennent les cris de joie, après l’esclavage la libération.
Et la cathédrale de Paris sera reconstruite !
'Hag Péssa'h saméa'h ! Belles fêtes de Pâques !
La lettre de l’amitié judéo-chrétienne - webmaster@ajcf.fr
Jacqueline Cuche
2- Le 18/04/2019 à 08:22, Olivier BRISSON a écrit :Oui, le désastre est grand, et grande la peine de tous, bien au-delà des seuls catholiques, et même bien au-delà de la France, comme l’expriment tant de messages qui continuent d’arriver – des rabbins orthodoxes d’Allemagne, des Amitiés judéo-chrétiennes sœurs d’Australie, du Chili...
Ce monument, sans doute le plus célèbre du patrimoine français, en plus de sa longue histoire est un lieu qui, depuis quelques années, portait aussi la mémoire de l’amitié entre juifs et chrétiens : c’est sur le parvis de Notre Dame que fut récité le kaddish lors des funérailles de Mgr Lustiger, et une plaque sur une colonne de la cathédrale y rappelait qu’Aron Jean-Marie Lustiger n’avait jamais voulu renier sa judéité.
Quelques années plus tard, un rabbin, invité par l’archevêque de Paris, y était venu prononcer une conférence de carême.
Mas si la peine est grande, l’espérance l’est davantage encore. Nous nous acheminons, juifs et chrétiens, vers les fêtes pascales, et le Dieu unique que nous célébrerons en même temps est le Dieu de la Vie. Comme ne cesse de nous le rappeler toute la Bible, après les pleurs viennent les cris de joie, après l’esclavage la libération.
Et la cathédrale de Paris sera reconstruite !
'Hag Péssa'h saméa'h ! Belles fêtes de Pâques !
La lettre de l’amitié judéo-chrétienne - webmaster@ajcf.fr
Jacqueline Cuche
Le
dictateur soudanais Bechir vient d’être renversé. En
prison, il va croiser quelques-uns des milliers de
Soudanais qu’il a fait arrêter et torturer… Je ne sais pas
ce qu’il faut souhaiter…ni à qui… Le 12/04/2019
EDF fermera la centrale
nucléaire de Flamanville quand…l’Angleterre quittera
l’Union Européenne… Le 13/04/2019
Trump envisageait de
nommer sa fille à la tète de la Banque Mondiale car,
dit-il … « elle est très bonne avec les chiffres… » …et
avec le pognon ? Le 14/04/2019
La France efface 143
millions de dettes fiscales d’un copain du Premier
Ministre Indien et de la famille Dassault… La corruption
souffle en Rafale… Le 15/04/2019
La famille Pinault
débloque 100 millions d’€ pour participer aux travaux de
rénovation de Notre Dame… Une réunion familiale a été
programmée cet après-midi chez les Arnault… Le 16/07/2019
Superbe portrait dans La
Croix d’une France, sécularisée, déchristianisée qui sent
son cœur se serrer à la vue d’une église en flammes… Le
17/07/2019
3- Exode XII 1 à
14 ; psaume CXVI ; 1ère lettre de Paul aux Corinthiens XI
23 à 26 ; évangile selon saint Jean XIII 1 à 15
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