Prier…[1] la parabole des deux
fils qu’envoie leur père à sa vigne. Oui, Seigneur, et il n’y alla pas… Je
ne veux pas, mais ensuite s’étant repenti, il y alla…Que pensez-vous de ceci ?
Jésus s’adresse à ses détracteurs, ses
contemporains, mais à moi ? oui. Lequel des deux a fait la volonté du
père ? Les actes et non le premier
mouvement… Jésus d’ailleurs ne parle pas d’une adhésion à Lui-même, mais à la
prophétisation de Jean à Son égard. Vous ne vous êtes pas repentis pour
croire à sa parole. En « pastorale »,
ce que cela donne, l’amour mutuel. Que chacun de vous ne soit pas préoccupé
de lui-même, mais aussi des autres… dans
le Christ, on se réconforte les uns les autres… l’on s’encourage dans l’amour…
l’on est en communion dans l’Esprit… l’on a de la tendresse et de la pitié… Leçon de conduite par Paul qui ne la
justifie pas en morale, mais du fait même de la personne du Christ : Dieu
l’a élevé au-dessus de tout, il lui a conféré le Nom qui surpasse tous les
noms, afin qu’au nom de Jésus, aux cieux, sur la terre et dans l’abîme, tout être
vivant tombe à genoux… C’est toujours l’ouvrier
de la onzième heure, une existence humaine en conclusion, l’instant ultime,
aucune accumulation de mérite ou de créance à longueur de temps, mais le
mouvement du présent, comme s’il doit être le dernier, et il y en aura un qui
sera bien le dernier. Si le méchant se détourne de sa méchanceté pour pratiquer
le droit et la justice, il sauvera sa vie. Parce qu’il a ouvert les yeux, parce
qu’il s’est détourné de ses fautes, il ne mourra pas, il vivra.
[1] - Ezéchiel XVIII 25 à 28 ; psaume XXV ; Paul auw Philippiens II
1 à 11 ; évangile selon saint Matthieu XXI 28 à 32
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