dimanche 11 juin 2017

fête de la Sainte Trinité - daigne marcher au milieu de nous - textes du jour




Hier après-midi

15 heures 01 + Appel du Monde à la fidélité d ses lecteurs et abonnés [1].. ton singulier. Le journal, ses journalistes : ils ont cherché à savoir, à comprendre, ils n’ont pas été étrangers à cette vague sans nom, efficace pour la promotion de celui à élire sauf péché contre la raison et le civisme. Et maintenant, ce n’est pas un acte de confiance…

16 heures 05 + Interrogé Google sur les directeurs de « mon » journal, ces années-ci : NOUGAYREDE, un intérimaire, van KOTE, et maintenant FENOGLIO, puis les trois capitalistes : BERGE, NIEL et PIGASSE. C’est BERGE qui se noue d’amitié avec FM et le soutient en 1988, en fait autant pour Ségolène ROYAL à qui il paye son siège de campagne. NIEL un adolescent devenant as du numérique : Free, et PIGASSE passé par les cabinets de DSDK à Bercy puis y restant avec FABIUS. Le tournant argent et libéralisme est en fait pris sous JOSPIN (LJ). Un papier que je n’avais pas connu, daté du 22 Avril, veille du premier tour, d’une Aude LANCELIN dans un blog. « logé » chez Médiapart, commente limpidement : « Macron, un putsch du CAC 40 ». La biographie de Pierre BERGE donne un extrait de l’écrit fixant la relation des journalistes au Monde avec le capital et rappelle ses relations avec la rédaction… [2]. A trois reprises, maintenant, bug. à la question [3] de la relation du journal avec EM, posée le Mars 2017 … papier aussi sur un renouvellement des accords entre l’actionnariat et les personnels le 21 Janvier dernier. Election laborieuse de FENOGLIO à son époque… La grande période a été HBM-JF celle que j’ai connue lecteur puis pigiste, et la catastrophe a été le conseil de MINC à COLOMBANI…


16 heures 52 + 4 et 5ème essais sur le questionnement au Monde :  « roule-t-il pour Macron ? ». A chaque fois : la connexion secure le monde.fr a été interrompue pendant le changement de page. Je n’en déduis rien.

Ce matin

08 heures + Eveillé à cinq heures du matin, grasse matinée, somnolé et réveillé d’un rêve. Une messe dans une église sans apparence et vaste, mais en travaux. Procession de communion, le prêtre se retirant dans un angle faisant figure peut-être de sacristie, je suis ma chère femme, puis me perds, arrive non loin du prêtre qui semble récriminer contre un ambassadeur de sa connaissance, je n’ai aps la possibilité de lui dire que j’en suis un autre, malaise, vertige, je m’accroche à je ne sais quoi pour ne pas tomber. Puis dehors, plusieurs escaliers souterrains partant d’une chaussée où je suis, en voiture ? un tableau de bord englué de boue…

Télévision hier soir, Marguerite et la jolie Zoé enfermées dans la chambre de notre fille à continuer ce qu’elles faisaient en voiture, des confections de colle et autre, qu’elles agrémentent avec le tube de mon savon à barbe. Mais elles rient, s’amusent. Nous aurions aimé qu’elles regardent avec nous, deux documentaires : documents et jeux de scène sur l’immigration au tournant des XIXème-XXème siècles vers l’Amérique, d’abord en enquête européenne (l’exode de Russie, pauvreté et antisémitisme, l’empire naval que se construit l’Allemagne et un nommé BALLIN – orthographe à vérifier – fortune établie par le travail, judaîté pas connue de l’Empereur qui le prise beaucoup, la Hapag, première du monde, des cités pour le transit et la sécurité sanitaire à Brême et à Hambourg) puis en Amérique, le personnage de LA GUARDA, enfant d’émigré, polyglotte, interprète pour l’accueil, la montée d’un escalier comme test de capacité au travail, puis les examens de santé et… d’intelligence), les immigrations d’enfants par force, vg. la politique britannique pour le peuplement des colonies blanches, Rhodésie du sud comprise.

Documenter et écrire l’histoire selon des pistes et des nécessités différentes, certains le font (un nom, travaux accomplis sur Suez par exemple, mais qui m’échappe) et nos comités d’histoire de certains de nos ministères, notamment aux Finances, un peu au Quai (les mémoires orales, mais aussi de grands thèmes). Ainsi, l’histoire de grandes entreprises, de grandes fortunes, et aussi, transversale et peut-être existant sinon en français, peut-être en allemand ou en anglais… judaïté et grandes entreprises industrielles ou bancaires, pas du tout en forme de nuisance ou de pouvoir occulte, mais bien au contraire d’édification des fortunes nationales…Je crois qu’il faut observer le quinquennat qui commence, pas seulement en psychologie du gagnant qui s’installe pour une durée  inconnue (autant de chances que ce soit très bref ou très long, mais je ne crois pas à simplement cinq ans, ce sera trop long ou trop court), mais surtout en structures : mouvement de la société et de l’économie française, apport ou inertie, malgré du verbe, pour la construction européenne. – Précisément, il se passe beaucoup ces jours-ci. La Corée du sud refuse le bouclier anti-missiles américain. La Commission et le Conseil, à Bruxelles, sans lien apparent ou organique, se préoccupent de défense européenne, au point que Le Monde et sans doute d’autres en sont déjà analyser une prise de conscience de la nécessité militaire, grâce à TRUMP, mettant les Etats-Unis en défaut de crédibilité (ce qui n’est nullement une première fois). La Commission aurait publié le 9 juin un plan de quelques centaines de millions pour de la recherche en matière de défense, et le Conseil créé une « capacité ». Mais on souligne à l’envie que c’est seulement se renforcer dans le cadre intangible de l’OTAN. Ni le nucléaire ni le commandement forcément intégré, et qui suppose une autorité politique suprême et immédiate (donc l’élection du président de l’Union au suffrage direct).

 De Mohamed El Hacen [4]souvent perspicace mais toujours paradoxal. Cela m’aide cependant ce matin pur terminer ma réflexion sur EM. – Du scrutin d’aujourd’hui, je n’attends que le taux d’abstention (le score de Richard FERRAND puisque selon le nouveau pouvoir l’électeur est seul compétent nonobstant la presse, les témoignages et la justice…) : les abstentionnistes habituels soudain tirés de leur comportement par le nouveau Président ou pas ? un changement en profondeur serait cela. Et y a-t-il résistance à l’illusionnisme ambiant : il fait de bonnes choses.. (mais lesquelles des projets de loi, déjà trois, chacun très discutables et qui seraient imposés sans débat à ceux que nous élisons pour précisément débattre…), il réussit à l’international (poignée de main ratée avec TRUMP, mise au défi de POUTINE pour flatter journalistes et opinion française, trop d’esbrouffe qui ne peuvent que ses homologues européens en défiance ou mal à l’aise : en diplomatie, ne jamais plastronner ni se commenter)… il fait l’union nationale (des opportunistes de chaque camp et parcours n’ayant le choix que lui ou la mise au silence) .Je travaille maintenant à terminer le tableau et surtout à y réfléchir. Très certainement, observer et noter au petit point, réfléchir. « Lui laisser sa chance », il est au-dessus de cela, et ce n’est pas notre affaire, mais celle des circonstances. A lui de continuer de l’avoir. Participer au redressement ? Comme je le peux, selon les accueils si différents en cinquante ans, je ne fais que cela : suggérer, soutenir, avertir, mais aujourd’hui sans tréteaux ni sono. Demain ? mes aimées, ce que j’ai à transmettre, et chaque jour donner du temps à nos lieux, accompagné de nos animaux.


10 heures 18 + Prier.. aux racines de la foi. Cette enquête du Monde fondée sur les lettres des djihadistes à leurs proches, épouse, mère, père avant leur entreprise et leur suicide. Une foi absolue dans des versets du Coran, qui pourraient cependant se lire autrement, une lecture de l’Histoire telle que l’Islam a toujours été persécuté et méprisé, une ambition d’islamisation du monde entier. Ce peut être aussi une manière de la foi chrétienne. L ’intégrisme chez nous ne m’intéresse qu’en tant que contre-témoignage et empêchement à évangéliser et comprendre autrui, et que retombées politiques dommageables pour l’Eglise et pour le pays. C’est la perte de la foi, c’est l’indifférence, le refus qui m’interrogent et plus encore comment la foi est soutenue en nous, ce qui revient à identifier l’Esprit Saint et le dessein de Dieu sur chacun de nous, en chacun de nous.

La rencontre. Elle est toujours un double mouvement, que l’homme soit en marche pour ou contre Dieu (Paul en route vers Damas, Moïse dans ce texte) quoique l’apparence souvent vécue par nous soit plutôt le passage de notre occupation à « autre chose » ou de notre distraction à la prise de conscience que Dieu est présent. Chaque heure du jour est propice, le matin tôt (le Christ si souvent), la pleine chaleur (Abraham à Mambré), la nuit et ses rêves (Joseph, le fiancé de Marie) ou ses combats (Jacob et l’inconnu le blessant à la hanche). Moïse se leva de bon matin et gravit la montagne du Sinaï comme le Seigneur le lui avait ordonné… Le Seigneur descendit dans la nuée et vint se placer là [5].Ce va être la dictée de la Loi par Yahvé, Moïse emportait les deux tables de pierre. Mais deux préalables. Chacun se présente, notre texte est-il chronologiquement le premier à donner celle de Dieu, Sa qualification et Ses attributs, et ce qui revient si souvent dans les psaumes daviddiques et ouvre presque chaque sourate du Coran, est donc le dire propre de Dieu sur Lui-même, et non notre appréhension ou notre seule intuition de Lui : Il proclama son nom qui est Le Seigneur. Il passa devant Moïse et proclama : « Le Seigneur, le Seigneur, Dieu tendre et miséricordieux, lent à la colère, plein d’amour et de vérité ». Moïse reprend la réponse fréquente d’Abraham à la présence de Yahvé : s’il est vrai, mon Seigneur, que j’ai trouvé grâce à tes yeux (Marie est devancée par l’Ange, à elle seule, il est affirmé : tu as trouvé grâce…), daigne marcher au milieu de nous. (ce qu’il se passe sur la route de Jérusalem à Emmaüs). Moïse, pasteur, Moïse intercesseur :le peuple dont il est et auquel il pense sans cesse. Jamais lui, même quand défaille le peuple. Oui, c’est un peuple à la nuque raide ; mais tu pardonneras nos fautes et nos péchés, et tu feras de nous ton héritage. aujourd’hui, nos textes nous donne l’origine d’une second de nos formulations habituelles, celle-là liturgique, la salutation est de Paul : que la grâce du Seigneur Jésus-Christ, l’amour de Dieu et la communion du Saint-Esprit soient avec vous tous. En conclusion d’exhortations pastorales à des comportements d’affection et une ambition générale de perfection. Jean développe cette présentation de Dieu par Lui-même en nous donnant son application : Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique. Réponse à mon interrogation première sur la foi : son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Vient ensuite le mystère de ce partage que je ne crois pas définitif, puisque Dieu est aimant et ne veut que le salut de tous. Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que par Lui, le monde soit sauvé. Celui qui croit en Lui échappe au jugement, celui qui ne croit pas est déjà jugé du fait qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.

La prière qui m’est donnée – toujours – est portée par la mémoire des vivants et des morts, rencontrés par ma propre existence. A lire aussi ces textes, interrogation fondamentale : être radicalement à Dieu, mais comment m’y veut-Il ? prier, prière. Et ces semaines-ci, importantes : lucidité populaire, dévoilement du chef, notre cher pays. Nos frères de l’Islam actuellement en ramadan, presqu’à moitié route…, avec eux la paix et l’enveloppement par nous tous en intelligence et en compassion, des candidats au djihadisme… 

13 heures 20 + Questionné wikipédia : le Seigneur, la Trinité… et arrive la discussion de la théologie trinitaire chrétienne : périchorèse, antitrinitarisme, unitarisme, subordinationisme, associationnisme (en Islam, shirk impardonnable, comme l’est le péché contre l’Esprit dans le christianisme), et ce qui permet d’y réfléchir, la charia, et dans le judaisme son équivalent, l’halaka puis avec l’émancipation des Juifs puis leur assimilation (immense discussion, l’haslaka. Je ne peux que survoler. Evidence que la culture religieuse aide la foi et la prière, évidence tout autant que l’ensemble est à enseigner comme une discipline différentes de l’histoire ou de la philosophie, et bien entendu des catéchèses données par des aumôniers religieux ou laïcs, une discipline autonome à instituer avec tous les concours dans l’enseignement, agrégation etc. et obligatoire absolument. Nous n’avancerons pas dans la tolérance mutuelle, qui est connaissance et admiration de l’autre et de ce qu’il sait et croit, si cette discipline ne se fonde pas chez nous. Bien entendu, elle n’est enseignable et transmissible que dans la laïcité, encore plus exigeante et précisément définie que pour l’enseignement de toutes. Je vais lire plus posément ces jours-ci ces différents fichiers. Comprendre aussi dans cet enseignement les grandes morales d'Extrême-Orient, les animismes, les religions précolombiennes, la conception marxiste de la religion, les fondements de l'humanisme, les racines de l'agnosticisme. Mise au point de manuels avec - en revanche - l'aide des hiérarchies religieuses et de personnalités d'autorité.
Baisse sensible de la participation, telle que mesurée à midi [6] : Le Point. Indice de résistance passive, celle que j’espérais et qui signifie que pour beaucoup de Français la carte et les menus ne leur convient pas. Encore moins que pour l’élection présidentielle. - Il vient rechercher sa fille, n'a pas encore voté, se sent largué. Je lui fais remarquer qu'avant toute consultation législative, DG intervenait et mettait son mandat en jeu : ma tâche serait aussitôt impossible. EM n'a pas su intervenir en clôture de l'ensemble de la campagne pour les deux tours. Le faire entre les deux tours serait un signe de faiblesse, c’est son succès qui a catalysé beaucoup d’adhésions de professionnels comme de nouveaux venant à la politique. S’il fléchit il engendrera une dynamique inverse. Il y a un côté cours de Bourse dans nos derniers quinze mois politiques. Il sait analyser les opportunités et ses adversaires, qui sont en fait tout le monde. Je ne crois pas qu'il ait ce flair de FM, sentant si bien l'opinion publique qu'il la gagne ou soit en train de la perdre. DG l'avait mais d'une tout autre manière. Je crois les temps - en profondeur - très normaux, surtout avec les "grilles" de toujours..


[1] - Le Monde lmabos@eabo.lemonde.fr reçu samedi 10 juin 2017 . à 09 heures 45
Législatives 2017 : 7 882 candidats, 577 députés élus
Une information indispensable pour des élections inédites

Chère abonnée, cher abonné,
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Les élections législatives vont, selon toute probabilité, confirmer l'ampleur du bouleversement que connaît notre paysage politique depuis la campagne présidentielle et l’élection d’Emmanuel Macron.
Depuis un mois, nos journalistes sont mobilisés pour décrire la profondeur de ce renouvellement sans précédent, pour raconter ses nouveaux visages, pour décrypter ses enjeux, pour enquêter sur ses risques et ses potentielles dérives. Nous avons publié beaucoup de reportages et d’enquêtes sur le pouvoir en place aujourd'hui et sur les hommes qui le composent. Sans complaisance, sans parti pris, nous avons dévoilé nombre d’informations inédites sur les parcours, les actes et les projets de ce nouveau gouvernement, aux contours inédits. Nous poursuivrons bien évidemment ce travail d’enquête complet, pour décrire la nouvelle majorité à l’issue de ces législatives.
Plus que jamais, nous pensons que le journalisme de qualité, celui que nous pratiquons en toute indépendance depuis plus de 70 ans, est indispensable à la compréhension des mutations qui nous entourent, porteuses à la fois d’espoirs, de questions et d’inquiétudes. Rarement, depuis plusieurs décennies, les choix politiques auront été aussi décisifs pour la France et pour l’Europe que durant la période qui vient de s’ouvrir. Notre ambition est de les éclairer, notre volonté est de tenir notre rang dans le débat public en vous apportant chaque jour les informations fiables et inédites, les expertises et les tribunes des meilleurs spécialistes et le regard de nos plumes, dont vous aurez besoin pour vous forger une opinion. Pour autant, cette attention particulière aux changements politiques et sociaux, à l’œuvre dans notre pays, ne nous détournera pas de nos autres missions.
Fort de sa rédaction de plus de 400 journalistes, Le Monde reste particulièrement attaché à la description des grands enjeux, des bouleversements géopolitiques et environnementaux, qui affectent notre planète. Cette attention à ce qui se passe au-delà de nos frontières fait partie de notre identité, et nous ne concevons pas de séparer ce qui arrive en France de ce qui advient ailleurs. Ce sens de la mise en perspective et de la complexité nous paraît indispensable pour expliquer notre époque et ne pas se laisser enfermer dans des grilles de lecture simplistes. Dans ce combat pour une information de qualité, fiable et variée, nous nous efforçons chaque jour de mériter votre confiance. Car, plus que jamais, nous avons besoin de votre soutien.
Jérôme Fenoglio,
directeur du Monde

[2] - wikipédia à jour au 25 Mai 2017 - En juin 2010, il s'associe avec Xavier Niel et Matthieu Pigasse pour prendre une participation majoritaire dans le groupe La Vie-Le Monde (Le Monde, Courrier international, Télérama…). En septembre 2010, il fait voter une augmentation de capital ainsi que la perte de contrôle du groupe par ses salariés actionnaires et internes (dont les journalistes).
Le 15 décembre 2010, Pierre Bergé devient président du conseil de surveillance du Monde SA et de la SEM (Société éditrice du Monde) en remplacement de Louis Schweitzer.
En contrepartie de cette évolution capitalistique, une Charte d'éthique et de déontologie du Groupe La Vie - Le Monde est adoptée, annexée aux statuts de la société éditrice et signée par chacun des actionnaires qui garantit l'indépendance et la liberté des rédactions par rapport aux actionnaires. Il y est notamment précisé que « l'indépendance éditoriale… à l'égard de ses actionnaires… est la condition nécessaire… Aucun texte ne peut leur être imposé, aucune orientation ne peut leur être dictée…34 »
Depuis le rachat du groupe Le Monde, plusieurs incidents émaillent les relations entre Pierre Bergé et les rédactions. Ainsi, début mars 2011, dans un courrier électronique adressé à Erik Izraelewicz, directeur du Monde, il dénonce un article consacré à François Mitterrand comme « immonde, à charge, digne d’un brûlot d’extrême droite », une « honte, qui n’aurait jamais dû être publié ». Il ajoute : « je regrette de m’être embarqué dans cette aventure. Payer sans avoir de pouvoirs est une drôle de formule à laquelle j’aurais dû réfléchir ! Je considère que, contrairement à ce que j’ai VOULU et à ce qu’ils prétendent, les journalistes du Monde ne sont pas libres, mais prisonniers de leurs idéologies, de leurs règlements de compte et de leur mauvaise foi. Tout cela est très grave. ».
Au sujet du projet de loi établissant le mariage homosexuel, il reproche au quotidien d'avoir publié une page publicitaire pour « La Manif pour tous », le 11 avril 20133, puis attaque, en juillet 2013, devant le Conseil de surveillance qu'il préside, le directeur de la rédaction de La Vie au sujet d'un éditorial défavorable à cette loi. Pierre Bergé est à nouveau menaçant : « Je ne suis pas obligé de supporter [l'éthique] de la Vie que je combats tous les jours. Oui, je serais heureux que ce journal ne fasse plus partie du Groupe. » Ce qui ne peut se faire sans l'aval des deux autres actionnaires majoritaires, Xavier Niel et Matthieu Pigasse. Au sein du groupe de presse, les réactions sont vives. Le « Pôle d'indépendance » qui regroupe les autres actionnaires, les sociétés des rédacteurs et les sociétés du personnel « rappelle », dans un communiqué de presse diffusé le lendemain, « que la définition de la ligne éditoriale des titres et sites du groupe est du ressort exclusif des directeurs des rédactions et de leurs équipes rédactionnelles. »
Le 3 octobre 2013, Pierre Bergé critique sévèrement le supplément littéraire du Monde, estimant qu'on n'y parle pas de livres et avouant préférer celui du Figaro. Le conseil de gérance de la Société des rédacteurs du Monde a alors déploré que Pierre Bergé « tente d'intervenir dans la ligne rédactionnelle du journal par des propos blessants à l'encontre du Monde des Livres et de l'ensemble de ses collaborateurs »35. En décembre 2014, il insulte le critique littéraire Éric Chevillard. Commentant cette nouvelle attaque à l'encontre de salariés du journal, le spécialiste de la presse Benjamin Dormann dénonce la « quasi immunité médiatique qui l’autorise à manquer de respect à des salariés, à en menacer, et en insulter d’autres ; le tout sans conséquence aucune, puisqu’il tient le chéquier ».

10 mars 2017 - Nos actionnaires sont libres de leurs prises de position, dit Jérôme Fenoglio, directeur du Monde, mais celles-ci n'engagent en rien notre ...

[4] - Le 10/06/2017 à 19:51, Mohamed El hacen a écrit :
MACRON est un brillant homme ,excellent orateur ,bien entraîné théâtralement par sa femme /mère et professeur mais il est un enfant en politique Il bâtit sur sable mouvant  ou sur de la neige l'humeur d'un peuple français  courageux mais traumatisé  et prenant  le Nord pour le Nord Est ou Nord ouest Les autres ont perdu carrément leNord  les américains et les Britanniques,le confondant avec le Sud 
Il croit pouvoir être un de Gaulle Mais n'est pas de Gaulle qui le veut
De mon point de vue ,il échouera lamentablement et ça se verra après une période de6 mois à un an 
Pourtant Je ne le souhaite pas son échec pour la France parce que malgré tout ce qu'elle fait ou ne fait pas en Mauritanie ,je continue à l'aimer quitte à cesser d'être mauritanien à cause d'elle. Pour me comprendre je vous dis et je peux le jurer sur tous les livres saints que c' est  F Hollande ( le magouilleur) lors du dernier visite à Psris  qui a convaincu Moaa de ne pas  renoncer au troisième mandat 
C'est l'entretien MOAA avec Marie Pierre olfan sur RFI que je l'avais  déduit. 
Cordialement  
[5] - Exode XXXIV 4 à 9 ; cantique de Daniel III 52 à 56 ; 2ème lettre de Paul aux Corinthiens XIII 11 à 13





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