Mercredi 13 Juin 2018
12 heures 26 + Nuit éprouvante, levé toutes les deux
heures, sensation que mes os s’effritent, que mon corps est
déjà inexistant, accentuation de ce constat qui n’est plus
même un défi. Non seulement, j’ai perdu mes forces, mais je
n’ai plus assez de volonté pour… même l’envie disparaît.
C’est le consentement à… Demeuré au lit pour ne me lever
qu’à dix heures : le partage mensuel d’évangile à notre
presbytère, les cinq que nous sommes, je ne puis ne pas y
être, je vais mieux… mais attente de trois quarts d’heure :
notre recteur empêché. Organiser cela, une cachette pour les
clés, l’échange de nos téléphones.
Nouvelles » 1: propos d’EM
enregistrés et repassés en boucle. A il n’est pas dit qui…
on donne trop de pognon, cela déresponsabilise, c’est du
curatif. Cela hier alors que se répand aujourd’hui qu’à
Montpellier, le chef de l’État va exposer sa ou ses
conceptions sociales : directe retombée de la note
soi-disant confidentielle de « trois de ses fidèles »
l’ayant mis en garde la semaine contre une image trop peu
« sociale ». On avance donc… cet homme qui a été ridiculisé
par TRUMP et qui ne sait toujours pas donner une
intelligibilité d’ensemble de cet empilement de réformes sur
papier, peu ou pas débattues, et aussi de « coupes sombres »
dans des budgets si nécessaires et quotidiens :
l’hospitalier… le besoin criant de médecins, d’équipements,
je le vis comme d’autres… qui ne dit encore moins les
perspectives qu’ouvrent censément ces réformes, pour
l’ensemble du pays…
23 heures 04 + C’est pire… volontairement, l’Elysée
a fait diffuser ce commentaire d’EM, le social a donc sa
réponse, les « fidèles » soigneurs en économie en réclamait
une, celle-là ? A France-Infos. Comme à la télévision, les
comptes de la Sécurité sociale en équilibre, le déficit de
l’UNEDIC rédut de vingt milliards, il est de 60 en ce
moment, celui de la S.N.C.F. ou à peu près. Mais cette
souplesse que nous retrouvons après très peu d’efforts et du
fait, à mon sens, un regain de confiance avec l’arrivée de
EM et la croissance mondiale, légère décrue du chômage, rien
de mécanique, rien d’acquis car tout dans la psychologie.
Texte à évoquer d’EM devant la Mutualité française, ce
matin, à Montpellier. Critique du R.S.A. auquel il faut
préférer l’accompagnement. Et annonce de la réforme des
retraites : toujours la même forme, rigide et comminatoire,
le projet de loi au début de 2019, et voté « dans la
foulée ». Y a-t-il encore un pouvoir législatif ? Une
« refondation radicale » (déjà les termes de NS en 2010…)
mais maintien du système de répartition et de la solidarité…
alors, contradiction in terminis. Tout cela me semble irréel
tant je suis certain que la France n’est pas un dossier à
traiter, ni les Français une matière à gérer, l’approche
comptable de la politique, de l’animation d’un pays n’a pas
prise ni sur les esprits ni sur ce que l’on veut améliorer.
Mais la bataille, les embûches, l’échec possible ne sont pas
le succès ou pas de X gestions sectorielles (privatisation
des aéroports de Paris, de la Française des jeux, un service
public depuis Louis XVI), c’est tout simplement ce qui se
vit – inattendu – depuis deux mois : les inondations, les
fleuves de boue, les catastrophes villes et villages, les
routes devenues fleuves, les tabliers de pont se trouvant.
Curieusement, on parle d’un précédent il y a quarante ans :
celui de la sécheresse (1976 ou 1978) oui, mais de l’eau ?
Un total de dégâts autour de 96 milliards, si j’ai bien
compris. Nos finances nationales seraient emportées non par
la dette « souveraine » dont je dis qu’on ne s’en sortira
que par un moratoire imposé aux créanciers, c’est-à-dire aux
marchés par les principales puissances débitrices, les
Occidentales (inconnue : la part que la Chine a, en propre,
de cette créance?), mais par le krach de l’ensemble des
assurances et réassurances ? EM n’en parle pas, mais les
gaffes de ces jours et heures continuent et se présentent à
payer. Le gouvernement italien, son ministre de l’Intérieur
(tête de proue), exige des excuses de notre part : cynisme
et irresponsabilité a dit EM hier, alors que nous n’avions
soufflé mot de trente-six heures à propos de l’Aquarius.
Et récidive encore plus forte – révélant un caractère selon
déjà bien des traits et phrases d’assassin, avant même
l’Elysée… il ne faut
pas céder à l’émotion ! Ma chère femme m’assure
que c’est ce que veulent entendre les Français, autant que
les Américains écoutent TRUMP parlant à leur place. Si nous
e sommes là, un peuple aussi fermé et raciste tandis qu’on
le dépouille de tout son patrimoine, comment ne pas me
mettre en colère de tout moi-même : un pays dénaturé ! Je ne
sais pas l’écrire, mais quelle honte et quelle tristesse. -
Et puis pour la S.N.C.F. ces derniers dix ans, découverte
dramatique, souvent mortelle : pas d’investissements ni
d’entretien de l’aqcuis devenant centenaire et plus... la
gare Saint-Lazare et semble-t-il un élément d’un simple
tableau électrique. Inondations, obsolescence de nos
investissements de base. Regarder les grandes gestions
publiques, celles de nos principales entreprises : les
erreurs stratégiques et les mauvaises gestions quotidiennes.
Et en l’espèce de la S.N.C.F., la séparation de
l’exploitation et des réseaux ne semble efficace ni pour
l’entretien, ni pour les récapitulations financières.
International… POUTINE comme HITLER en 1936, attend
des jeux du prestige (et aussi des recettes pour le pays).
L’Allemagne nazie, prestige collectif, mais POUTINE, l’enjeu
est personnel. Corée du nord… TRUMP comme EM joue des
bâtiments et du mobilier national pour en faire l’image de
sa gloire personnelle. Donc, KIM prochainement à la
Maison-Blanche, la bombe atomique comme ticket d’entrée.
Mais ce que je ne comprends pas c’est l’accord : les
Etats-Unis donneraient toutes garanties de sécurité à la
Corée du nord, mais qui sont les ennemis (nucléaires) de
celle-c : la Chine ? la Russie ? Et le Japon n’a pas l’arme
nucléaire.
FR3 donne un documentaire sur Brigitte MACRON, il est
bien fait, il apprend peu, puisque le couple s’est donné aux
médias comme un argument de campagne.Couple fusionnel,
persistance de l’enseignante du français et du maintien au
théâtre qui contribue tant à la silhouette et au « look » e
son mari. C’est évidemment sans précédent que tout se fasse
en couple, du moins jusqu’au voyage américain. Et évidemment
cette fonction de « Première dame », exposée par Pierre
BESSON, Catherine NAY, et l’épouse de JPJ, n’existe ni en
droit français ni dans l’esprit citoyen des Français. De
profil, EM est dur.
Prier… notre pays, les migrants, Ousmane entre la
vie et la mort, la tuberculose certes mais la misère et
l’alimentation. Un pigeon, l’aile brisée que ramène chez
notre vétérinaire ma chère femme : forcément l’euthanasie.
Ceux, celles qui m‘habitent. Le jeu si scénique, selon les
textes d’aujourd’hui : Elie et le concours avec la centaine
des prêtres de Baal. Silence de leur dieu, mise en feu de
l’holocauste par le Seigneur, à la demande de son prophète
qui a corsé l’épreuve au maximum 2. Et la mise au
point du Christ, situant nos Ecritures. Je ne suis pas venu
abolir mais accomplir. C’est aussi la dialectique de nos
vies, particulièrement quand la logique et l’imminence de
notre fin, les avertissements de notre corps, les
avertissements pour notre mental, quoique je ne me sois
encore jamais senti défaillant mentalement. Mais l’acte,
l’écriture les diverses tâches… accomplir et non reporter ou
abandonner. Ce soir, une victoire sur ce corps et cette
volonté qui me sont donnés mais ne sont pas tout moi puisque
précisément je dois m’en faire obéir. Nos circonstances
m’ont forcé : l’impératif de caractériser et de témoigner.
Nous ne sommes qu’au tout début d’une évolution que je
définis ni ne nomme, mais qui est déclive à tous points de
vue.- Edith sur Brigitte M. : elle fait pitié. Et moi
suggérant que ce rôle, cette place, ce n’est pas elle qui se
l’ait faite, même et surtout par amour, il lui a été confié
par force, elle est exploitée ? Se rend-elle compte de la
somme des erreurs commises par le Président, en grande
partie par incontinence verbale.De souplesse nulle part,
dans ce début d’exercice des prérogatives présidentielles. -
J’ai dit au Seigneur :
«Tu es mon Dieu ! Je n’ai pas d’autre bonheur que toi »… Tu
ne peux m’abandonner à la mort. Tu m’apprends le chemin de
la vie. Amen, accord et constat.
2- 1er Rois XVIII 20
à 39 ; psaume XVI ; évangile selon saint Matthieu V 17 à 19
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